Hérouville-Saint-Clair | Projection « Tout va bien » de Thomas Ellis

Jeudi 20 novembre à partir de 19h30, projection à 20h30

A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant du 20 novembre, et dans le cadre du festival Migrant’Scène, le Café des images, France Terre d’Asile et la Cimade vous invitent à l’avant-première du film Tout va bien de Thomas Ellis.

Tout va bien lève le voile avec justesse sur le parcours de 5 adolescents « Mineurs Non Accompagnés » (MNA). Un film nécessaire qui aide à mieux comprendre la réalité de ces jeunes, et qui salue aussi le travail essentiel des équipes éducatives et de l’ASE pour les accueillir, les accompagner et les former.

Cinq adolescents. Cinq silences obstinément couverts par trois mots : « Tout va bien ». ils ont traversé des déserts, des mers des frontières. Arrivés à Marseille, dans l’aorte d’une ville nouvelle, ils apprennent un métier, une langue, une administration rigide Pourtant le vrai voyage, c’est l’effort de l’être à se construire sous le poids de ceux restés derrière. Loin des clichés, Tout va bien nous rappelle que c’est souvent dans le désordre que l’on trouve un sens à nos vies. Pour son premier film, le réalisateur Thomas Ellis signe une première oeuvre sur la dignité, la détermination, et le tumulte de l’intégration.

➡️ La projection est suivie d’une rencontre avec le réalisateur Thomas Ellis

PROGRAMME DE LA SOIREE
Dès 19h30 – au Café du Ciné
– Temps convivial et Information + Stands avec les équipes de La Cimade, SOS Méditerranée2
 20h30 – en salle
– Introduction par Vincent Beaugrand, Directeur Général de France Terre d’Asile
– Avant-Première Tout va bien
suivie d’une rencontre avec le réalisateur Thomas Ellis

Convention internationale des droits de l’enfant
La Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) est un traité international adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1989. 
Ratifiée par 196 États, la CIDE est le traité relatif aux droits humains le plus largement adopté de l’histoire. Aujourd’hui, seuls les États-Unis manquent à l’appel.
Plus qu’un texte fortement symbolique, la Convention énonce les droits fondamentaux des enfants et est juridiquement contraignante pour les États signataires.